DELPHINE BOESCHLIN - 20 SEPTEMBRE 2016
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Le travail se profile. Je commence à formuler en images ce que j’éprouve ici. Le mot est choisi. Brasilia s’éprouve, comme on éprouve Le Havre.
Suzzana m’a dit «C’est Brasilia qui décide. Soit elle te repousse et t’empêche de la pénétrer, soit elle te retient et t’empêche de partir.»
Quand je suis arrivée au Havre la première fois en septembre 2009, j’ai marché.
Marché marché marché.
Au bout de deux heures, j’ai pris une photo du port que j’ai envoyé à ...