FRANÇOIS TROCQUET - 29 JUILLET 2016

LA VILLE.

Dès que l’on sort des avenues le paysage est toujours aussi tragique, des milliers de maisons sont semblables à celle-ci (je ne m’étendrais pas sur ce genre de photos abondamment reproduites), la « renaissance » de la ville ne profite pas à tout le monde, les classes les plus pauvres, c’est-à-dire les Afro- Américains en grande majorité, sont pour la plupart les oubliés de la reprise économique. Les investissements vont pour l’essentiel dans le business privé mais pas dans les écoles publiques, bibliothèques, transports ; les tensions raciales sont toujours très vives.

Un paysage très dur et très fort me fait penser à une chanson des Stooges !

Des friches par millier ; le paradis des street artists…

Un bon mélange…

On peut y trouver une oasis, un des plus vieux bars de Détroit, le Nancy Whiskey.

 

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